Si un jour vous vous faîtes kidnapper par des aliens qui veulent étudier les spécificités de l’espère humaine, au lieu d’un grand discours sur le concept de la mélancolie, faîtes-leur simplement écouter quelques notes de bandonéon. Ce cousin de l’accordéon, devenu symbole du tango argentin (et pourtant inventé en Allemagne), semble en effet pleurer toutes les larmes de son corps à la moindre note. Heureusement Louise Jallu sait comment le consoler de toute sa tendresse. Ce sera assurément la séquence émotion de cette édition.